Alors, tu m’as attaché. Poignés liés par une écharpe de soie. Je te regarde onduler devant l’écran de télé. Les bougies projettent des ombres rougeoyantes sur ta peau nue. Tu m’as jeté au visage ton soutien-gorge et ta culotte. Tu danses pour moi sans musique. Je voudrais sauter par-dessus la table basse, te prendre dans mes bras, danser avec toi, sentir ta peau au travers de ma chemise. Je ne bouge pas. Je joue le jeu. Je joue ton jeu. Je garde mes liens. J’attends que tu te rapproches. Que tu déroules ce programme. Que s’enchainent les étapes de cette soirée que tu as si bien planifiée.

Déjà te voilà assise sur moi. Mes mains prisonnières glissent comme elles peuvent sur toi. Tu défais un à un les boutons de ma chemise. Tes lèvres glissent sur mon torse. Ta langue joue avec mes tétons. Tes dents me mordillent. Puis c’est mon pantalon qui tombe, libérant ma bite dressée, dure, gorgée d’envie, de désir. Tu t’en saisis. Me branles. Prends mes couilles dans ta bouche. Je me renverse dans le canapé. Tes doigts serrent ma queue. Ta langue glisse le long de mon sexe , descend vers mon cul, lèche mon trou, le fouille. Je gémis de plaisir, puis pousse un cri de plaisir quand dans un même mouvement tu introduis un doigt dans mon cul et ma bite dans ta bouche. Tu m’arraches plusieurs orgasmes en me branlant l’anus tout en me suçant. Des orgasmes dévastateurs. Ce n’était pas prévu au programme, mais comment m’en plaindre ?

Comme promis tu me libères. Me laisse à mon tour m’exprimer. Je te couche sur les coussins et te bouffe la chatte. Littéralement. Ma langue explore les moindres recoins de ton sexe dégoulinant d’excitation. Je bois ton jus. J’avale ton clito. Je glisse un doigt en toi, puis deux, trois, quatre, … Tu te cambres, t’agites sous mes coups de langue. Tu plaques mon visage contre ton sexe chaud. Je sens autour de mes doigts ta chatte se contracter de plaisir. Je sens les moindres spasmes de ta jouissance. Je retire ma main de ton sexe. Me lèche chaque doigt dégoulinant de toi. Tu me pousses vers le canapé et viens t’empaler sur moi. Me chevauche, me baise avec ardeur, fièvre, sans retenue. Tout ton corps se couvre de sueur au fur et à mesure de tes orgasmes. Tu pousses des cris de plaisir. Tu n’en as jamais assez, tu pourrais faire durer ton plaisir toute la nuit. Mais tu me sens sur le point de jouir à mon tour.

Tu te dégages et reprends ma queue dans ta bouche. Tu me suces jusqu’à ce que je vienne dans ta bouche. Que j’explose de plaisir. Qu’un geyser de foutre jaillisse et se répande sur ton visage et coule sur mon torse parcouru de spasmes.

Nous reprenons notre souffle, nos esprits et nous promettons la prochaine fois d’essayer d’aller jusqu’au bout de ce qui était prévu à l’origine.