Il y eut d’abord un cadeau. Un CD reçu par courrier. Sans adresse d’expéditeur. Un mot l’accompagnait, m’invitant à le glisser dans mon ordinateur.

Une fois fait s’affichèrent des photos. Elle en tenue sexy de Mère-Noël. Effeuillage lascif sur un chant de Noël. Le costume fut vite un souvenir. Une idée à peine aperçue.

Elle nue devant l’objectif. Des clichés plus que suggestifs. Son corps offert à mon regard pendant que seule sur un lit elle se livrait à des attouchements, des caresses.

Attention touchante. Ce cadeau de Noël en avance réchauffant l’atmosphère glacée de décembre, se terminait par une invitation à voir, en vrai, ce spectacle. Et, qui sait, rencontrer la fille du Père-Noël. La faire asseoir sur mes genoux et lui demander des cadeaux.

L’invitation, sans hésitation, fut acceptée. Rendez-vous pris. Soirée marquée d’un X rouge dans mon agenda.

Le soir dit, la porte de chez elle était ouverte. De la musique venait du salon plongé dans la pénombre, éclairé simplement par des bougies et les guirlandes lumineuses du sapin.

Elle arriva dans cette tenue si légère pour une fille censée vivre dans les grands froids polaires. Un semblant de robe rouge bordée de fourrure blanche ne couvrant presque rien. Un caraco de la même étoffe, tout aussi minuscule sur les épaules. Un bonnet  complétait la tenue.

Elle débuta son effeuillage que j’interrompis. Si j’étais là, c’était pour prendre la fille du Père-Noêl dans son plus beau costume. Elle rit, s’approcha de moi. Se pencha pour ôter sa culotte d’un magnifique rouge assorti à sa tenue, et vint s’asseoir sur mes genoux.

J’ai été une vilaine fille me dit-elle alors que ses doigts glissaient sur les boutons de ma chemise, les faisant sauter un à un d’un geste ferme et précis. J’ai été vraiment très vilaine, pousuivi-t-elle, avant de faire glisser sa langue sur mon torse nu. Je suis toujours une vilaine fille, mais j’ai droit à un cadeau, ajouta-t-elle en se mettant à genoux et en extrayant ma bite gorgée de désir pour l’avaler. Elle la suça comme un sucre d’orge. Je ne tins pas longtemps sous les caresses de sa bouche délicieuse, de ses lèvres soyeuses. Je jouis sur sa langue. Le foutre coula sur son menton et vint faire une tache sur sa jolie robe.

Elle revint s’assoir sur mes genoux, ne lâchant pas ma queue. M’embrassant à pleine bouche. Sa langue avait le goût de ma bite, de mon sperme. Sous ses doigts habiles, il ne me fallut pas longtemps avant de rebander. Elle voulut me chevaucher, mais je la repoussais. Et vins à mon tour me mettre à genoux devant elle. Relevant sa petite robe rouge, j’embrassais sa chatte, et son clitoris, le léchais, le suçais. J’enfouis mes doigts en elle. Je la fis jouir. Elle cria sous mes caresses. Je bus son sexe avant qu’elle ne renverse sur le tapis et s’empale sur ma queue.

La fille du Père-Noël me baisa furieusement. Sa robe rouge se gorgea de sueur au fur et mesure qu’elle enchainait les orgasmes. Ils semblaient à chaque fois plus puissants. Elle finit par ne plus en pouvoir et s’effondra sur le tapis, haletante, parcourue de frissons de plaisir.

Je me levais et dans un geste qui me surprit tout autant qu’elle je me branlais au-dessus d’elle avant de répandre mon foutre sur son costume. Quelques gouttes atterrirent sur ses seins. elle passa un doigt dessus et le lécha en me regardant droit dans les yeux et me lança:

« Joyeux Noël »