— Mon amour que veux-tu ?

— Je te veux contre moi. Sentir ta peau. L’odeur de ton parfum. L’odeur de ton corps après une journée de travail. Mélange de transpiration et de parfum. Je veux toucher le grain de ta peau. Parcourir sa douceur. Passer mes doigts dans tes cheveux. Passer mes doigts dans ton cou. Dans tes replis et tes plis. Je veux te tenir. Te serrer. Je veux entendre le rythme de ta respiration s’accélérer à mesure que mes mains s’approchent de tes seins, de ton ventre, de ton sexe. Je veux glisser un doigt, deux, trois en toi, dans ta chatte rendue humide par mes caresses, par ma langue dans ta bouche, par ma langue sur ton ventre, par ma langue partout où tu la laisser aller. Tu la laisses aller partout. Je veux gouter mes doigts, gouter ton jus qu’ils auront recueilli. Je veux que tu boives ton jus, que tu suces mes doigts couverts de toi. Je veux tes mains sur moi. Dans mes cheveux. Sur mon torse, dans mes poils, sur mes couilles, sur mon sexe. Je veux que tu serres ma bite entre tes doigts. Que tu la sentes durcir, s’affermir pour toi. Je veux que tu me dises viens. Je veux que tu me dises prend moi. Je veux te prendre. Te pénétrer. T’entendre crier. Te faire l’amour. Te baiser. Je veux que tu danses sur moi, sur ma queue. Je veux que tu jouisses sur moi. Je veux voir dans tes yeux l’abandon. Je veux que tu en redemandes. Que tu me supplies. Que tu dises encore. Je veux jouir en toi, sur toi, avec toi. Je veux que tu me prennes dans ta bouche. Que tu me suces. Que tu me pompes. Je veux t’étouffe de mon membre. Je veux qu’il dégouline de ta salive. Je veux que tu me boives. Je veux ta bouche pleine de mon sperme. Je veux nos langues liées par ce foutre. Je veux te faire jouir de ma langue. Fouiller tes entrailles, ton antre de ma bouche. Je veux que tu te tordes de plaisir sous mes coups de langue. Je veux lécher ton con. Embrasser toutes tes lèvres. Je veux que tu n’en puisses plus de jouir. Je veux tomber à tes côtés, épuisé de fatigue, épuisé de plaisir. À demi-mort, m’endormir dans tes bras. Sentir l’odeur de ta peau après l’amour. Nos sueurs se mêlant, inondant nos draps. Veux tout ça et plus encore.

— Moi aussi mon amour me dis-tu à l’autre bout de la ligne téléphonique.