One, Two, Three…

One, Two, Three...

Sandra quitta la chambre au petit matin. Sur le seuil de l’appartement je l’embrassais en lui disant merci. Elle me glissa à l’oreille qu’elle n’avait jamais autant jouit et me demanda de la rappeler très vite.

Marc n’était plus dans le lit quand je me réveillais. Un coup d’oeil au réveil m’indiqua qu’il était plus de 10h. Je ramassais un tee-shirt, l’enfilais et rejoignais la cuisine dans laquelle m’attendaient café et croissants. Marc m’avait laissé un mot. Il était parti faire des courses. Il n’avait pas voulu me réveiller. Il m’embrassait. J’avalais café et croissants avec délectation. La douche que je pris juste après me fit tout autant de bien. Il me fallait chasser les effets de ma nuit. Je m’habillais en vitesse. M’installais devant mon portable. et y relevais mes mail. Au milieu des spam et autres messages sans intérêt qui polluent les boites du monde entier, je trouvais un message de Camille. Sous plusieurs photo d’elle t Fred en pleine action elle m’écrivait: « Voila ce que tu as manqué! ». C’est vrai que les photos de Fred nu avaient de quoi mettre l’eau à la bouche. Celles de Camille dans des poses suggestives n’étaient pas mal non plus. Un doigt dans la chatte je lui répondais que je gardais l’invitation en tête, et m’empressais d’effacer les clichés avant que Marc ne rentre.

Je trainais sur le canapé, feuilletant un magazine en attendant son retour. Les bras chargé il arriva un peu avant midi. Il me sourit. Je l’embrassais comme si rien ne s’était passé la veille. Il s’installa en cuisine pour préparer le repas. Je le regardais s’activer, profitant du spectacle d’un homme cuisinant pour moi. Ce qu’il nous servi n’avait rie d’extraordinaire, mais était bon, et surtout  était un vrai repas, le premier que je prenais depuis longtemps. Il me demanda ce que j’avais fait la veille au soir. Je lui racontais ma soirée avec Camille en omettant de lui préciser qu’elle m’avait inviter pour un plan à trois. Il me raconta sa soirée, son match. Un déjeuner ordinaire pour un samedi. Discussions banales d’un couple banal. Un fruit au désert. Un café. Et, au lieu d’aller s’asseoir gentiment sur le canapé, je l’ai pris par la main et l’ai conduit dans la chambre. J’avais envie de lui. De sentir son corps s’écraser sur le mien. De sentir sa bite me pénétrer. Ses mains m’agrippant les hanches. Je voulais le sentir jouir en moi. Son foutre couler en moi. S’écouler de ma chatte pour venir tacher les draps.

Nous avons fait l’amour doucement, tendrement, gentiment. Loin de l’étreinte bestiale dont je rêvais. Nous étions fatigué l’un comme l’autre. Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre. Une sieste tendre. Dans ce demi sommeil j’ai repensé à Sandra. Alors, quand nous nous sommes levé, pendant que Marc s’habillait, je lui ai tout raconté. Mes envies, mon obsession, et mon après-midi avec cette belle bibliothécaire. Il s’est assis. M’a regardé longtemps sans rien dire. Debout, appuyée contre le mur j’attendais. J’étais prette à entendre ses reproches, sa colère, sa déception. J’aurais accepté qu’il hurle, qu’il claque des portes, me pousse dehors. Il n’a rien dit. S’est levé. S’est approché de moi. M’a pris la main. Puis, tendrement m’a embrassé. Il m’a conduit jusqu’au canapé. Nous nous sommes assis. Il n’y avait pas la moindre colère dans ses yeux. Mais du désir. Cette lueur qui brulait dans ses yeux lors de nos premiers jours quand nous baisions comme des bêtes, la nuit, le jour, à chaque fois que nous le pouvions.

Il a ouvert la porte. La chambre était éclairée par des bougies. J’étais allongée nue sur le lit. Penchée sur moi Sandra. Je n’avais rien dit à Marc. Après notre discussion, après mes révélations, nous avions parlé de notre vie sexuelle, de notre routine, de la possibilité de pimenter un peu tout cela. Il ne m’en voulait pas de mon escapade saphique. Il comprenait. J’ai attendu quelques jours avant de contacter Sandra, de lui proposer de se joindre à Marc et moi. Elle a hésité, puis a fini par dire oui. Penchée sur moi, nue, elle me caresse les seins, le sexe. Marc nous regarde sur le seuil de la chambre. J’embrasse Sandra. J’aime le gout de sa bouche. Du coin de l’oeil j’observe mon mec. Je devine sa bite tendue dans son caleçon. Il attendra un peu. Je profite de mon amante avant de l’inviter à nous rejoindre. Je guide les doigts de Sandra en moi. Je la laisse me branler pendant que je suce ses seins. Marc s’approche de nous. S’assoit du bord du lit. Je lui dit de patienter un peu. Il m’obéit, mais sort tout de même sa queue et se masturbe doucement pendant que nous faisons l’amour sous ses yeux. Sandra me fait jouir avec sa langue. Quand il entend mes cris de plaisir je voit Marc se raidir. Il n’en peut plus. Alors, j’invite Sandra à le sucer. Je la regarde faire. Je ne pensais pas un jour pendre plaisir à ce genre de spectacle, une autre que moi avalant la bite de mon mec. Je la rejoint, nous partageons cette queue dressée. Marc éjacule dans nos bouche. Son foutre coule sur les draps. Marc rebandera après m’avoir vu lécher Sandra, il me prendra en levrette pendant que je ferrais jouir ma belle bibliothécaire. Nous tenterons d’épuiser les possibilité que nous offre notre trio avant de retomber fatigué, couvert de sueur et repus de plaisir, Sandra allongée entre nous nous nous endormirons.


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