Après avoir déjeuner sur la terrasse, nous nous installames sur les chaises longues qui avaient passé tout l’hiver dans la remise. Le soleil n’était pas très fort, mais il suffit pour nous réchauffer et que nous nous mettions en maillot. Je remarquais sans trop de difficulté le regard d’Antoine, et le désir dans ses yeux. Et autre chose aussi, comme un bout de culpabilité. Trop occupé par Antoine, je ne fis pas attention à sa soeur, qui elle aussi nous observait.

Le soir venu, c’est Antoine qui m’en parla, qui me dit que Clara était jalouse. Ce soir de Noël, quand Antoine et moi fîmes l’amour dans ma chambre, souillant le parquet de son foutre, Clara, que l’on pensait avec le reste de la famille, nous observait, sur le palier, par la porte entr’ouverte. Elle le raconta à Antoine un fois qu’ils furent rentrer chez eux. Elle lui avoua qu’elle aurait aimé nous rejoindre, mais que pétrifié par la peur, elle s’était contentée de se masturber en nous observant. Antoine avait été choqué, et aussi flatté de ce geste, de cette envie, mais plus encore qu’avec moi, il ne pouvait s’imaginer poser la main, et autre chose sur Clara, sa soeur. Elle eu beau insister, lui dire qu’elle n’était pas sa vraie soeur, qu’ils ne feraient rien de mal, Antoine réussi à la repousser. Jusqu’à ce qu’une nuit elle se glisse dans son lit, et le branle alors qu’il dormait. Il se réveilla et éjacula sur sa main. Elle prit son sperme, et se caressa avec, dans une étrange torpeur il la regarda se masturber, et jouir. Elle revint d’autre nuit se glisser à ses côtés, et faisant sauter toutes ses peurs, tout ses blocages, lui faire l’amour.

J’étais à la fois choquée, et excitée, tout comme Antoine. Clara était une belle et gentille fille que je n’aurais jamais cru capable de tel actes, mais d’un autre côté, j’avais fait exactement la même chose. Avant elle. Antoine me demanda si je voulais le rejoindre dans sa chambre, et après avoir entendu son histoire, je ne pouvais lui dire non. Je savais que j’étais une sale petite salope qui baisait son cousin, mais je ne pouvais pas m’empêcher d’aimer ça.

Je passais par la cuisine pour uy prendre une bouteille d’eau quand Carla me tomba dessus. Elle me hurla dessus, me renversa sur le sol, me reprocha de lui avoir voler son frère, d’être une salope, et d’autre noms peu agréables à entendre, surtout quand ils sont accompagné de coups de poings désordonnés s’abattant anarchiquement sur vous. Je tentais de resister, mais il fut vite évident qu’il fallait qu’elle se calme toute seule. Ce qu’elle fini par faire comme je le prévoyait. Ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’elle finirait par m’embrasser à pleine bouche. Je la laissais faire et lui rendis son baiser. Nos langues se mêlèrent, nos corps se rapprochèrent, nos vêtements volèrents au traverse e la cuisine. Elle glissa ses doigts en moi, et me caressa avant de venir me lécher. Sa langue experte me fit jouir. Elle m’avoua que je n’étais pas la première fille à qui elle faisait l’amour. Souvent, dans les vestiaires, sous la douche, elle baisait avec une copine de classe. Je la relevais, l’installais sur le table en bois et lui montrais que moi aussi je savais faire du bien à une fille. Elle jouis entre mes lèvres et je sentis son jus me couler sur la langue.

Antoine m’attendais sans doute dans son lit, peut être avait-il déjà pris de l’avance en se branlant, mais je préférais rester avec Clara. Nous quitames la cuisine pour ma chambre, où elle s’allongea à mes côtés pour partager ses histoires de sexe.

à suivre…